CPE Bach

Cello Concertos

Jean Guihen Queyras, Ensemble Resonanz, Riccardo Minasi
2018
/
Harmonia Mundi

Trio Gagnant sur C.P.E. Bach. Plus qu’un pied de nez… Pourquoi la musique avant Mozart serait-elle dorénavant réservée aux seuls orchestres sur instruments d’époque ? Depuis plusieurs années, l’Ensemble Resonanz a relevé le défi sans négliger la notion de pur plaisir que pouvaient apporter concertos et symphonies du grand C.P.E. Bach. À l’image de leur invité Jean-Guihen Queyras, tous les musiciens maîtrisent avec une égale virtuosité les interprétations historiquement informées (pour les cordes, sur boyaux) ou sur instruments montés modernes (comme ici, sur corde métal). Ce disque est le premier opus célébrant leur collaboration avec le maestro Riccardo Minasi pour harmonia mundi.

More than just a challenge to orthodoxy…
Why should music ‘before Mozart’ now be the sole preserve of period-instrument orchestras? For some years now, Ensemble Resonanz has challenged this idea, without ever neglecting the notion of the sheer pleasure to be derived from the concertos and symphonies of the great C. P. E. Bach. Like their guest soloist Jean-Guihen Queyras, all the musicians possess equal virtuosity in ‘historically informed’ performance (with gut strings for the string sections) and on instruments with a ‘modern’ setup (metal strings, as here). This is the first disc on harmonia mundi to celebrate their collaboration with maestro Riccardo Minasi.

 

Queyras’s warmly recorded rendition of two of his cello concertos with the modern-instrument group Ensemble Resonanz certainly encapsulates that pioneering spirit. Working hand-in-glove with this finely honed ensemble, Queyras delivers compelling and idiomatic interpretations…
The Strad

« Leur première rencontre au disque fait des étincelles, dans deux concertos exubérants où Minasi excelle à mettre Queyras tout à la fois en danger et en valeur. Et quel orchestre ! » Diapason

“La direction euphorisante de Riccardo Minasi soigne les couleurs et les dynamiques, et le violoncelle virtuose de Jean-­Guihen Queyras dialogue dans une chaleureuse égalité avec l’orchestre de chambre. ” Télérama